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Pourquoi les taux des prêts immobiliers devraient rester bas

If the market of real estate fait partie des secteurs ayant fait preuve d’une certaine resilience face aux conséquences des différentes restrictions sanitaires, la crise aura laissé des traces. Il arrive à garder la tête hors de l’eau grâce notamment à une request de plus en plus forte, y compris au plus fort de la crise, dans le domaine du locatif. Bien entendu, la tendance à la drop of the rate of the real estate loans n’y est pas pour rien.

La baisse des taux à partir de juillet 2020

Au printemps 2020, soucieuses de protect their santé financière, les banques décident de revoir à la hausse les taux de leurs nouveaux crédits. Mais dès le mois de juillet de la même année, ces rate sont de nouveau en drop : ils passent en moyenne de 1.29 % en juillet à 1.25 % en juillet. La drop est certes légère, mais elle offre une lueur d’espoir après plusieurs mois of rise, notamment au plus fort de la crise.

Pourquoi les taux des prêts immobiliers devraient rester bas

Les banques accordent désormais en moyenne des taux de 1.03 pour les crédits sur quinze ans ; pour les crédits sur vingt ans, les borrowers ont en moyenne droit à des taux de 1.21 % ; pour les prêts qui s’étalent sur vingt-cinq ans, les établissements accordent en moyenne des taux autour de 1.47 %.

The conséquences de la crise sont économiques mais aussi sociales. Les pertes d’emploi et de pouvoir d’achat augmentent les risques d’insolvabilité des emprunteurs. Les banques font alors preuve de plus de caution in l’octroi of the credits. Elles doivent en même temps sustain a market qui est lui-même assommé par la crise, revoyant à la baisse, dès juillet, leurs barèmes.

Le phénomène de baisse va-t-il durer ?

The drop of the rate est une aubaine pour de nombreux ménages qui attendaient le « bon moment » pour realize their projects. Le fait que cela arrive juste après le premier déconfinement n’est pas un hasard. Les banques, misant vraisemblablement sur une reprise progressive of the activités, y voient l’occasion rêvée de rattraper une partie des retards of production occasionnés par la crise due au Covid-19.

Il est probable que les rate still remain low au moins sur le moyen terme. La crise sanitaire, malgré ses violentes conséquences dans des pans entiers de l’économie, n’aura pas provoqué, fort heureusement, de krach immobilier. The prix des biens have increase pendant un certain temps, mais pour le reste, les professionnels se sont toujours réjouis de leur courbe ascendante. La caution est de mise malgré tout. Même si le scénario la plus plausible reste celui d’une drop sur plusieurs mois, cela ne va pas continuer éternellement. Les professionnels anticipent d’ailleurs un possible hindsight à deux chiffres des price of real estate.

La pandémie aura eu d’importantes conséquences on the market of real estate. Parmi celles-ci, figure notamment la drop of bulk of the transactions, hormis quelques exceptions dans le domain of locatif ou celui de real estate of luxe. Plus globalement, les confinements et autres restrictions sanitaires ralentissent l’activité économique et ont des impacts sur les revenus de certains ménages, et ce malgré les différentes aides publiques comme le chômage partiel ou le prêt garanti by the state.

The solvency même des emprunteurs est en question, car elle dépend de la santé financière des entreprises dans lesquelles ces derniers travaillent. L’explosion of unemployment et la perspective de nombreuses casses sociales sont autant de raisons qui ne permettent pas, pour l’heure, d’avoir des outlook reluisantes pour le marché de real estate.

Mouvements sur les barèmes des banques

The rate ne sont jamais éternellement en hausse ou en baisse. On observe toujours de temps à autre quelques mouvements de fluctuation. C’est le cas par exemple des taux de crédits longue durée, avec notamment une rise of the rate pour les prêts sur vingt ans et une baisse pour les prêts sur vingt-ans. S’ajoute à cela le fait qu’il y a parfois un gap plus ou moins important entre les taux affichés et ceux que pratiquement réellement les établissements bancaires. The brokers en tirent d’ailleurs profit, négociant pour leurs clients des rate more advantageous que ceux proposés par les différentes banques.

Une demande soutenue mais un taux d’accord en baisse

Même si l’on peut envisager quelques scénarios positifs pour la sortie de crise, il reste de nombreuses incertitudes. Sur le plan sanitaire, la progression de la campagne vaccinale est certes une nouvelle réjouissante pour les particuliers comme pour les professionnels, mais les nouvelles restrictions prises pour contenir les variants ralentissent la reprise économique.

Parmi les craintes que l’on peut avoir à propos du market of real estate, il y a notamment celles sur la baisse du taux d’accord of credits. Le phénomène est dû au fait que les banques ont suivi les recommandes du Haut Conseil de financial stability, selon lesquelles celles-ci devraient non seulement n’accorder de crédit qu’aux ménages avec un debt ratio ne dépassant pas 33 %, mais arrêter les prêts sur plus de vingt-cinq ans. En conséquence, les établissements refusent the demandes of funding de nombreux ménages, quand ceux-ci n’y renoncent pas d’eux-mêmes.

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