The lockdown a eu des effets négatifs sur le market of real estate. Toutefois, celui-ci connaît une évolution constante depuis le 11 mai dernier.
Selon le directeur scientifique de MeilleursAgents, Thomas Lefebvre, la société a perdu près de 165 000 transactions lors du lockdown. Actuellement, il est possible d’observer une reprise of the dynamique du marché, car de nombreuses transactions engagées ont parfaitement été finalisées. Malgré maintes et maintes prolongations, les buyers n’ont pas laissé tomber leur projet.
Même si l’année 2020 est marquée par une chute désastreuse of the ventes, beaucoup s’interrogent sur l’évolution actuelle des prix. D’après les statistiques of the professionals of real estate, the price ne cessent d’augmenter à une vitesse folle. Par rapport à l’année 2020, il est possible de remarquer une rise de 5 % entre janvier et mars. Cette évolution des prix concerne, globalement, les appartements et les maisons, qu’ils soient en province ou en Île-de-France.
Au vu de la situation, les tendances possibles du market of real estate demeureront incertaines, et ce, pendant plusieurs mois. Cependant, force est de constater que la présence de cette crise n’aura aucun impact on the demande d’habitations, notamment dans les grandes villes telles que Paris. En effet, les offres ne suivent pas la forte demande in housing in these sectors très prisés. Ainsi, il ne faut pas trop s’attendre à une baisse des prix durant les mois à venir. Toutefois, certains analystes pensent que real estate n’échappera pas aux repercussions d’une crise économique majeure, malgré sa notoriété de valeur refuge.
La seule chose à retenir, est l’évolution constante of the demande, due au choc du confinement. Durant cette crise sans précédent, les terrasses et les balcons étaient les seuls endroits où les citadins ont pu enjoy of a forme d’activité en extérieur, sans sortir de leur logement. Depuis ces places luxueuses, ils ont pu jardiner, admirer les ruelles vides et encourager le personnel soignant. Par conséquent, la demande actuelle se dirige vigoureusement vers ce type d’habitation, dont le prix moyen est 8,8 % plus cher que les autres types de real estate.
Côté finance, cette évolution inévitable des prix n’est pas très confortable pour les acheteurs. Depuis 2019, le Haut Conseil de Stabilité Financière a demandé aux institutions bancaires of limiter l’attribution of prêts. Cette mesure restrictive veille à ce que le debt ratio des foyers ne soit pas supérieur à 33 %, en ne donnant plus de credit qui dure plus de 25 ans. Avec ces nouvelles recommandations, les foyers modestes et les first-time buyers ont vu leur moyen de funding s’évanouir pour de bon.
Selon les experts d’Artemis Courtage, le retour à la vie normale ne devrait pas changer les préconisations relatives à la limitation of prêts. Ainsi, la plupart des dossiers qui devaient, normalement, être financés, il y a quelques mois, seront actuellement recalés. Du coup, il est essentiel d’être pointilleux dans l’élaboration of the files of funding afin d’obtenir un avis positif.
D’autre part, les observations constatent également que la tendency se tourne vers la rise of the taux d’intérêts. Depuis le mois d’avril dernier, le taux est passé de 0,1 % à 0,5 % pour tout type d’acheteur ou tout type de real estate project. Au mois de mai, ceux qui n’ont pas encore increase their rate ont décidé de procéder à une rise de 0,2 % à 0,3 %. Pour le moment, les institutions bancaires n’ont pas encore prévu une hausse des taux d’intérêts. Pour les potentiels acheteurs qui veulent acquérir un bien immobilier, ces taux sont très intéressants. Avec un dossier convenable, il est possible de ask a ready à 1, 10 % sur 15 ans, 1,30 % sur 20 ans, ou bien 1,50 % sur 25 ans.