The health crisis aura touché durement de nombreux secteurs, en particulier la restauration, l’hôtellerie ou encore la culture. Mais il en est d’autres qui s’en sortent plutôt bien, y compris au plus fort de la crise. C’est le cas entre autres des civil societies of real estate investment, qui affichent plutôt des performances encourageantes au premier trimestre de 2020.
Les bonnes performances du premier trimestre
The different measurements prises au début de la crise sanitaire ont fragilisé of nombreuses activités. On pense notamment aux hôtels et autres lieux de vacances mais aussi aux restaurants et commerces, pour ne citer que ces exemples. Mais certains secteurs ont fait plus preuve d’une plus grande résilience, y compris pendant les premiers mois de la pandémie. C’est le cas entre autres des SCPI.
Au premier trimestre de 2020, ces structures affichent même de bons résultats. Cela s’explique par la solidité de la trust that savers placent en elles mais aussi par le fait qu’elles encaissent les loyers avec un trimestre d’avance. Mais si les épargnants déjà investis n’ont pas douté de la profitability of the SCPI, on ne peut pas en dire autant pour les potentiels nouveaux investisseurs. Parmi ces derniers, beaucoup ont reporté ou même annulé leur souscription si bien qu’au second trimestre, le average yield of the SCPI has baissé.
Les difficultés rencontres au second trimestre
Pour se faire une idée des difficulties en question, il faut s’en remettre aux données fournies par l’observatoire des SCPI de Linxea. Celles-ci confirment bien qu’au premier trimestre 2020, les SCPI affichent des bilans particularly encourageants, notamment quand on connaît l’ampleur des conséquences économiques de la pandémie de Covid-19. Mais elles montrent aussi que ces bons résultats n’allaient pas durer.
Au second trimestre, la drop des nouvelles souscriptions entraîne celle de la collecte des sociétés civiles de placement immobilier. Si certains investors avaient encore bon espoir et optent pour le postponement of their souscription, la plupart ont tout bonnement décidé d’annuler la leur et de miser plutôt sur les livrets bancaires. Ainsi la collecte des SCPI passe de 2.56 milliards € au premier trimestre à 800 à 900 millions le trimestre suivant.
Même si la collect a considérablement baissé, on peut dire que les SCPI ont tenu bon et su restrict the casse. Si elles ont pu faire preuve de résilience, c’est surtout parce qu’il n’y a pas eu de retraits massifs, les savers déjà investis n’ayant pas été découragés par les difficultés rencontrées. Qui plus est, même au plus fort de la crise, elles ont toujours eu un rate of recouvrement des loyers élevé : 78 % en moyenne au second trimestre.
The drop drastique du average yield n’aura pas ébranlé la santé financière des SCPI en général. A vrai dire, les companies of management avaient prévu pire, notamment au second trimestre. Cela dit, les difficultés sont plus importantes pour certains secteurs que d’autres. Ainsi les SCPI spécialisées dans l’hôtellerie ou le commerces figurent parmi les plus touchées par la crise, tandis que celles qui invest in the health, the logistics and the residential display rate of récupération de loyers avoisinant les 100 %.
The savers se posaient tout de même des questions concernant evolution of the value of the shares of the SCPI. Mais aucune baisse généralisée n’a été constatée. La plupart des SCPI ont tout même utilisé des outils permettant de faire face à une éventuelle drop of rendement, comme le report à nouveau, les négociations avec les locataires fragiles en vue d’un extension of lease ou encore la revalorisation of the parts.
Les autres données rassurantes
Linxea has audité une soixantaine de SCPI. Les données portant sur le second trimestre reflètent les grandes difficultés rencontrées par ces entités durant cette période. Mais l’observatoire montre en même temps des évolutions on ne peut plus rassurantes. L’analyse du courtier en assurance montre notamment que les SCPI ont réussi à contenir the drop of the dividends servis – cette baisse s’établit en moyenne autour de 11.07 %, mais quand on prend en compte le yield global sur l’année 2020, la moyenne s’établit plutôt à 3.91 %.
The outlook pour les deux trimestres suivants sont bien meilleures notamment parce que la plupart des sociétés de gestion prévoient alors de négocier avec leurs tenants of the reports of rents, une mesure qui entraîne une drop has court-terme of yield mais qui permet d’avoir de bonnes performances on the moyen and long terme.
Les rendements moyens en 2020
Au moment où les experts de Linxea réalisaient son observatoire, ils constataient un rendement global de 4.05 pour l’année 2020. Mais ce rendement prévisionnel constituait alors une fourchette haute qui ne prenait pas encore compte des résultats des SCPI spécialisées in the commerce or l’hôtellerie, qui furent durement touchées par la crise. La projection la plus basse se situe, elle, autour de 3.91 %. Le rate of rendement moyen prévisionnel s’établit donc à 3.98 % pour 2020.
Mais il s’agit là de données prévisionnelles. Les SCPI évoluent et s’adaptent en fonction de la situation sanitaire. Si la plupart des sociétés de gestion misent sur de perspectives d’avenir plutôt prometteuses, elles restent prudentes dans leurs initiatives. Il y a des incertitudes, mais il y a aussi des leviers que ces sociétés peuvent utiliser. Outre les mécanismes classiques utilisés en période of crise, comme le report à nouveau ou le postponement of rents, les SCPI sont aussi en quelque sorte les bénéficiaires indirect de certaines aides of the state. On pense notamment au Partial unemployment qui a permis d’éviter que des locataires fragiles ne deviennent insolvables. On pense également aux secured loans by l’Etat qui ont permis à des entreprises louant des bureaux ou des locaux commerciaux aux SCPI de s’acquitter de leurs loyers sans fragiliser their santé financière.