Depuis quelques temps, on remarque une stabilization des prix sur le estate market. Sur le plan des transactions, il est particulièrement calme. Bien qu’on note une slight increase of the price dans l’Hexagone, à raison de +0,2%, les dix plus grandes villes du pays affichent une phase of stabilization à -0,1%. Si l’on se réfère aux chiffres publiés par Meilleurs Agent, on distingue que le marché entre dans une phase of rééquilibrage, sans qu’il y ait un effondrement of the price.
The principales métropoles françaises telles que Lyon, Toulouse, Lille et Nice basculent dans le rouge, respectivement à -0,2%, -0,3%, -0,4% et -0,5%.
The hindsight of market est notamment observé dans des communes peu dynamiques depuis quelques mois. Si la ville de Bordeaux est la plus impactée à -0,6% occasionnée par une érosion lente of the demande, the rate of unemployment supérieur à la moyenne nationale en est pourtant la cause à Montpellier. Inversement, la tendance haussière est en bonne tenue à Nantes, Strasbourg et Rennes. Les prix locaux sont établis à +0,5% face au sector of l’emploi qui se porte bien. À cela s’ajoute la démographie croissante. Bien que ces secteurs soient bien positionnés sur le marché pour le moment, les indicateurs de Meilleurs Agents n’épargnent en aucun cas à une phase d’atterrissage des prix à terme. Dans ce contexte, les prix vont stagner de l’ordre de -1% national, d’ici septembre 2021.
Des acheteurs sur la réserve
Partout en France, the request is slightly in baisse, alors qu’elle était en hausse jusque-là. De fait, les experts prévoient un rebalancing of the trades pour les mois à venir. À la sortie du confinement, les acheteurs se sont rués vers real estate pour se prémunir d’une crise éventuelle. Une fois que la fièvre acheteuse du printemps et de l’été ayant pris fin, la real estate tension s’est relâchée entre vendeurs et acquéreurs.
Selon les indicateurs avancés du marché local, le nombre d’acheteurs a nettement diminué par rapport à ceux des vendeurs. À Rennes, on compte 3% d’acheteurs contre 27% de vendeurs. Un écart tangible qui ne favorise guère les real estate transactions dans un contexte de crise sanitaire. Du côté de Lyon, le territoire a enregistré un prix bas dû au pouvoir d’achat immobilier, après la capitale parisienne. La proportion a désormais franchi les 5%.
Lille serait une exception face à la conjoncture actuelle, morose and baissière. Elle affiche un ratio de 12 acheteurs pour 10 vendeurs, ce qui est plutôt équilibré. De plus, les rents sont élevés, et à mensualités égales, on gagne ainsi de mètres carrés en basculant de la rental has l’achat.
Le prix dans la capitale plafonne à 10.500 € le m2
S’il en est ainsi de la capitale des Flandres, Paris n’est pas en reste de ce changement d’ère immobilier. Au début de l’année 2020, tous les signes indiquaient que la capitale allait dépasser le seuil des 11.000 € le mètre carré vers la fin de l’année. Pourtant, le contraire s’est produit, car Paris a enregistré une chute of the demande notable sur le courant de l’année. Dans la commune, les chiffres indiquent qu’il ne reste plus que 6% d’acheteurs de plus que les vendeurs. Une real estate tension jamais observée auparavant dans ce secteur connu pour son dynamisme. Or, il est fort probable que les price se stabilisent compte tenu de la situation. Quoi que, les niveaux remain exceptionnels, aux environs de 10.450 € le mètre carré avec une baisse de 0,5% sur un mois. De leur côté, les petites surfaces semblent résister à -0,1%, contre les grandes surfaces qui ont vu leur prix reculer de 0,9%.