Même si la health crisis a provoqué un slow-down général de l’économie, il y a au moins une chose qu’elle n’aura pas réussi à faire : freiner l’envie des Français à acquérir de nouveaux real estate. Les acquéreurs sont d’ailleurs plus nombreux que l’année précédente. Simplement, leurs criteria de recherche ont beaucoup évolué par rapport à la période d’avant-crise. Les familles vivant dans les villes sont par exemple en quête de housing plus spacieux et dotés d’espaces extérieurs (terrasse ou jardin), quitte move away des centres des métropoles pour dénicher leur « coup de cœur ».
Les recherches de biens explosions en région parisienne et au-delà
Les données fournies par Pap.fr offrent un aperçu de l’engouement of the dwellings de la région Ile-de-France pour the acquisition de nouveaux biens immobilier. Le site indique notamment que du 1st au 31 août 2020, le nombre de recherches de logements en région parisienne et dans les localités avoisinantes a progressé de 60 % par rapport à l’année précédente. A titre de comparaison, cette rise était de 46 % en mai 2020.
Paris, une capitale en mal d’attractivité
Les recherches de new housing sont en progression dans de nombreux département, notamment l’Eure, l’Eure-et-Loir, le Loiret, l’Yonne ou encore l’Oise. Il en va de même pour l’ensemble des départements de la région Ile-de-France, à l’exception notable de Paris. La capitale connaît pour la première fois, en août 2020, une baisse, de l’ordre de 5 %. Les départements de la Petite Couronne affichent certes une progression de 32 %, mais ils restent loin derrière la Grande Couronne et les localités limitrophes de la région parisienne.
Paris séduit de moins en moins les Franciliens
Beaucoup d’habitants de la région Ile-de-France s’éloignent of Paris, ce qui arrange les affaires des départements alentour. On observe ainsi une hausse des recherches of real estate de 83 % dans la Grande Couronne – le record in terms of progression est détenu par la Seine-et-Marne : +118 % par rapport à août 2019.
The desire des Franciliens de move away of the capital city profite aussi à des localités qui se trouvent au-delà des frontières administratives de la région parisienne. The recherches of nouveaux biens sont ainsi en increase de 83 % en moyenne dans les département avoisinant l’Ile-de-France, notamment dans l’Oise, avec une progression de 78 % ou dans l’Eure, avec une hausse notable de 102 % ; on peut également mentionner l’Eure-et-Loir, qui affiche une hausse de 65 %, le Loire, où les recherches augmentent de 82 %, ou encore l’Yonne, qui affiche une hausse de 88 %.
Dans les régions, les gens s’éloignent des villes
Le site Pap.fr indique qu’en août 2020, les recherches of new housing en France ont increase en moyenne de 46 % par rapport à l’année précédente. Si les autres grandes villes affichent des chiffres meilleurs que ceux de Paris, elles sont malgré tout délaissée par une partie de leurs habitants.
The recherches pour de nouveaux real estate se concentrent essentiellement dans la localité e trouvant autour des grandes villes. Si ces recherches sont en hausse de 21 % à Bordeaux, on constate une progression de 70 % en Gironde ; de même, Lyon affiche une hausse de 37 % tandis que la rise atteint les 86 % dans tout le Rhône. Les données indiquent clairement que les habitants de ces métropoles sont nombreux à vouloir vivre loin of the centres-villes.
Les zones les moins denses ont la cote
The French sont encore more nombreux has s’intéresser dans les villes et département les moins denses. Les acquisitions sont ainsi en increase de 163 % dans l’Ain. Le Pas-de-Calais tire aussi son épingle du jeu, avec une rise of the acquisitions de 153 %. Il en va de même pour l’Isère où le nombre d’acquéreurs is rise de 151 %, rien que ça ! Les big cities sont de moins en moins attractives aux yeux de nombreux Français, pour qui il est important de enjoy d’un cadre plus apaisant, notamment proche de la mer ou en montagne. La démocratisation du telework leur permet d’ailleurs de enjoy of the advantages de vivre dans des villes moyennes tout en préservant their activités dans les métropoles.
Les acquéreurs recherchent pour la plupart une résidence principale
On aurait pu croire que l’explosion of the acquisitions dans certaines villes ou département reflète le désir des Français à avoir une résidence de vacances dans une localité paisible. La réalité est tout autre : le nombre d’acquisitions of second home is increase de seulement 8.2 % en 2020 par rapport à l’année précédente, ce qui signifie que les acquéreurs, dans leur grande majorité, souhaitent vraiment vivre ailleurs.
